En 1841, la "commission mixte d'armement des côtes, de la Corse et des îles" prévoit dans son programme de remise à niveau des fortifications littorales françaises la construction d’une nouvelle batterie armée de 2 canons de 30 livres de balle, 2 obusiers de 22 cm et un obusier de 12 en bronze défendue par une "tour crénelée". En 1862, il est proposé la construction d'un corps de garde crénelé modèle 1846/1861 n° 3 mais le projet est finalement abandonné.
Par la suite, la batterie de l’Île Callot cesse d'apparaître dans les états de défense des côtes : elle est déclassée quelques années plus tard.